DE LA PHOTOGRAPHIE ENVISAGEE COMME TAUROMACHIE
« Ce qui se passe dans le domaine de l'écriture n'est-il pas dénué de valeur si cela reste "esthétique", anodin, dépourvu de sanction, s'il n'y a rien, dans le fait d'écrire une œuvre, qui soit un équivalent (et ici intervient l'une des images la plus chères à l'auteur) de ce qu'est pour le torero la corne acérée du taureau, qui seule - en raison de la menace matérielle qu'elle recèle confère une réalité humaine à son art, l'empêche d'être autre chose que grâces vaines de ballerine ?»